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DES MILLIERS
D'HEURES
Des milliers
d’heures perdues à espérer la chance
Et tant d’instants déçus pleuvant sur ton
absence
Des milliers d’heures perdues
à déserter la vie
Et tant d’instants vaincus par sa
mélancolie
Rien qu’une heure, quelque temps, à
quérir
Rien qu’une peur, un tourment, à guérir
Rien qu’une heure, cinq sens, à servir
Rien qu’une peur, un effroi, à sertir
Rien qu’une peur, un effroi, à sertir
Des milliers
d’heures perdues à vivre dans l’errance
Et tant
d'instants tenus par la désespérance
Des milliers
d’heures perdues à essayer d’aimer
Et tant d’instants déchus par la peur d’échouer
Un instant,
en janvier, j’avais pour toi brillé
Ce moment, ce
temps T, s’était tant fait prier
Notre joie
exaucée sept belles années
Puis la pluie
étendit son ombre sur nos plaies
Puis la pluie étendit son ombre sur nos
plaies
Des milliers
d’heures perdues sans pouvoir se parler
Et tant
d’instants stressés par ce Monde insensé
Des milliers d’heures perdues à se désenchanter
Et tant d’instants battus par des cœurs refermés
Des milliers
d’heures perdues pendus aux dépendances
Et tant
d’instants fendus par les indifférences
Des milliers
d’heures perdues à envier la chance
Et tant
d’instants émus, muets sous les silences
Rien qu’un
leurre, que deux temps, à tuer
Rien qu’une
heure, quelques gens, à louer
Notre amour, irradié, notre terre, désolée
Mon cœur, livré
aux feux des forets
Mon cœur, livré
aux feux des forets
DES MILLIERS
D'HEURES
Des milliers
d’heures perdues à espérer la chance
Et tant d’instants déçus pleuvant sur ton absence
Des milliers d’heures perdues à déserter la vie
Et tant d’instants vaincus par sa mélancolie
Rien qu’une heure, quelque temps, à quérir
Rien qu’une peur, un tourment, à guérir
Rien qu’une heure, cinq sens, à servir
Rien qu’une peur, un effroi, à sertir
Rien qu’une peur, un effroi, à sertir
Et tant d’instants déçus pleuvant sur ton absence
Des milliers d’heures perdues à déserter la vie
Et tant d’instants vaincus par sa mélancolie
Rien qu’une heure, quelque temps, à quérir
Rien qu’une peur, un tourment, à guérir
Rien qu’une heure, cinq sens, à servir
Rien qu’une peur, un effroi, à sertir
Rien qu’une peur, un effroi, à sertir
Des milliers
d’heures perdues à vivre dans l’errance
Et tant
d'instants tenus par la désespérance
Des milliers
d’heures perdues à essayer d’aimer
Et tant d’instants déchus par la peur d’échouer
Et tant d’instants déchus par la peur d’échouer
Un instant,
en janvier, j’avais pour toi brillé
Ce moment, ce
temps T, s’était tant fait prier
Notre joie
exaucée sept belles années
Puis la pluie
étendit son ombre sur nos plaies
Puis la pluie étendit son ombre sur nos plaies
Des milliers
d’heures perdues sans pouvoir se parler
Et tant
d’instants stressés par ce Monde insensé
Des milliers d’heures perdues à se désenchanter
Et tant d’instants battus par des cœurs refermés
Des milliers d’heures perdues à se désenchanter
Et tant d’instants battus par des cœurs refermés
Des milliers
d’heures perdues pendus aux dépendances
Et tant
d’instants fendus par les indifférences
Des milliers
d’heures perdues à envier la chance
Et tant
d’instants émus, muets sous les silences
Rien qu’un
leurre, que deux temps, à tuer
Rien qu’une
heure, quelques gens, à louer
Notre amour, irradié, notre terre, désolée
Mon cœur, livré
aux feux des forets
Mon cœur, livré
aux feux des forets