Peintures sur sOI
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Qu’il est doux et soyeux,
Le joli moi d’aimer !
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L’Amour avec un grand
A (comme Amazone), se
composerait de trois
Elixirs de jouissance qui peuvent
Tourner vinaigre s’ils sont mal mélangés :
- A.1) l’amour de l’Amour
- A.2) l’amour de l’Autre
- A.3) l’amour de Soi-m’aime
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L’Amour est fort comme
Une armure sucrée.
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J’apprécie quelqu’un pour
Ce qu’il est,
Pas pour
Ce qu’il veut montrer
Par être.
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L’Amour n’a pas de Prix.
C’est pourquoi le vouloir
C’est pourquoi le vouloir
A tout Prix ne laisse
Aucun espoir.
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Les
couples
d’amoureux
sont
comme
d’amoureux
sont
comme
des
enfants
qui
prennent un
malin
plaisir
à
défaire
des nœuds
qui leur
ont tant serré
leur vie
sans
se douter
qu’un
jour
ces mêmes
nœuds
coulants
prendront
moelleux
plaisir
à desserrer
leur
bien en
deux
cordes
à
chagrins
toutes
nouées
d’eux-mêmes
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Aimer à contrecœur, c’est
Comme nager à
contre-courant.
Il faut la Force du serment
Il faut la Force du serment
Pour regagner l’Amour…
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S’il était vrai
qu’aimer c’est
Donner sans rien attendre en
Donner sans rien attendre en
Retour,
craindrait-on aussi fort le
Retour de
l’attente ?
Hein ?
Hein ?
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C’est lorsque
j’ai commencé à douter
De l’irréelle
fiabilité (égotique) de
l’héroïne, qui partageait (dehors) ma
vie,
Que j’ai
commencé à goûter
A la réelle
affabilité (érotique) de
l’héroïne, qui partagerait (dès lors) ma
vie.
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Je hais les
amoureux : comparés aux autres
Drogués, ce
sont les seuls que l’on respecte,
Pis, que l’on
vénère, ou pis encore, qui se
Vénèrent tout
seuls !
(vénère…
grave).
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A la base,
Les amants sont
Deux monceaux de
Vie baignant plus
Les amants sont
Deux monceaux de
Vie baignant plus
Ou moins dans
Le même
Le même
Milieu
Ambiant
Quand
Les circonstances adéquates
Les font s’aimanter, puis s’aimer, les
Deux monceaux de vie s’enroulent
Dans un élan vital qui peut durer
Plusieurs années, pour aboutir à un
Joli couple : deux beaux anneaux de vie
Insérés l’un dans l’autre et pleins d’énergie
Puis, les forces centrifuges des exigences
Sociales et toutes les formes d’oppressions
Extérieures au couple sont telles qu’arrive un
Moment où, par la farce des Roses, l’un des deux
Anneaux se rompt et s’ouvre, souvent de bien triste manière :
Il y a rupture dans le couple, qui peut aller jusqu’à séparation
des
Anneaux, ou, dans le meilleur des cas, jusqu’à
réparation,
Non pas du Couple initial, mais des points de rupture des
anneaux, qui
Bien qu’ils ne soient plus entrelacés miraculeusement l’un dans
l’autre comme par Magie, ne s’aimant donc plus
vraiment, peuvent néanmoins rester encore longtemps
vraiment, peuvent néanmoins rester encore longtemps
Sous l’emprise mutuelle de leur aimantation : on dit que le
Couple s’aimante ou
S’alimente encore, mais plus vraiment pour de vrai comme au
début,
Et, bien que l’Amour, le Vrai, ait
Déserté l’apathie en cours de route,
Et même si cela peut prendre du temps…, deux aimants qui
s’aimantent
De plus en plus fort, s’aimantant sans s’aimer, certes, peuvent
bien égaler
Deux amants s’aimant vraiment, car, bien qu’ils ne sèment plus,
c’est un fait,
c’est un fait,
Ils s’aimantent encore, et ça
C’est déjà bien
Ça peut
Valoir
Son
Pesant
D’or.
Valoir
Son
Pesant
D’or.
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Peut-être se
rendra-t-on
Compte un jour,
qu’au final,
Tout ce qui
aura été dit et fait
Au nom de
l’Amour
Aura peut-être
été aussi vain et
Illusoire en
définitive, que toutes les
Autres drogues
réunies ?
En fin de compte,
C’est vrai oui, et les
Enfants ont raison là,
S’accoupler,
C’est vrai oui, et les
Enfants ont raison là,
S’accoupler,
C’est jouer un peu
Au papa et à la maman.
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L’Amour est un oiseau frileux
Blotti heureux, joyeux
Sur un volcan tiède.
Qu’il vienne à érupter,
Il se brûle les ailes.
Qu’il vienne à s’endormir,
Il crie des noms d’oiseau.
Mais qu’il vienne à mourir
Que lors, il s’indiffère.
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L’amour, mieux vaut le
Laisser se faire
S’enlacer des corps beaux,
Que le faire se lasser des choses sûres
Sans lacets.
(?)
(?)
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Pourquoi ne pas dire
Je te hais-aime aux
Personnes que l’on hait-aime ?
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L’amour est un
Délit d’initiés
Qui se transforme
En haine par
Abus de confiance.
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On ne peut raisonnablement
Et profondément aimer quelqu’un
Sans le haïr aussi profondément en retour.
Aï, aï, aï, combien de fois me suis-je haï !
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La haine siège toujours à côté de l’amour
Comme l’anus, sis tout près du sexe,
La Lune, à deux pas de la Terre,
La vallée, juste derrière le Col, ou
La nuit, à quelques heures du jour.
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L’amour est comme la pomme d’Adam et Eve :
D’abord, une couche, dure, maigre, très fine et vernie
D’heureux gagnants à la sauterie.
Ensuite, une grosse masse de chair douce, bonne et
Grumeleuse de joyeux perdants qui
croient toujours que la lote rit.
Enfin, un noyau dur de gens qui n’y croient plus
Mais qui portent encore en eux,
Au plus profond d’eux-mêmes les moqueries, les pépins,
Et les fèves de leur fruit défendu, qu’ils
Re s'aimeront toujours !
"Ah ! Ah ! Ah !", les autres ont ri.
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Pour certains, l’amour est
Comme l’enfance,
Vite faite,
Bien fait.
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Il n’y a rien d’aussi réel
Et invraisemblable à la fois
Que l’amour : c’est un soleil
Paradoxal qui s’affiche en noir et blanc,
Tel un rêve amer, éveillé.
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L’Amour est un rêve auquel
On croit si fort, que malheur
Nous prend, passées les années,
De le confondre avec la réalité.
Nul ne sait encore refaire
Le plomb en or.
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Le leurre de l’amour est que l’on
Pense toujours en posséder les
Vertus, confondant aveuglément
Droit de propriété et droit de bail.
Buy, die,
Bye, love,
Bye, love,
On ne pourra jamais
Que te louer !
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L’inconvénient de l’Amour est
De donner d’abord tout le meilleur de lui-même
Pour ne souvent récolter, après,
Que des sourires en soupirs, et inversement,
Alors souffrez, jeunes gens,
Que vos Amours
Désaffectés,
Vous portent bon gré mal gré,
D’afflictions perdues
En inflexions gagnées.
Hein ?
Hein ?
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Si l’Amour a vraisemblablement
Pieux ou poux, de tout temps existé,
Il a d’abord pris son essor dans les pays
Agréablement tempérés,
Avant de s’être universellement
Répandu partout ailleurs,
De par l’invention du chauffage central,
Brûlant les cœurs au charbon, au gaz et au fioul,
Brûlant les cœurs au charbon, au gaz et au fioul,
Puis, grâce à l’avènement de la fée électricité,
Traversant allègrement, et affectueusement,
Toutes les formes possibles de résistances.
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L’Amour des dégonflés
Est une grosse poupée gonflée
Qui se dégonfle en deux à trois ans.
Chez les gens plus gonflés d'amour,
Elle se dégonfle plus lentement.
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La
vie
est un
voyage
qui
nous transporte
de la fille mère,
vers l’âme sœur
de l’amour adoubé
vers l’Amérique adorée,
de la marmite en chaleur
vers l’âme ermite en râleur,
de la mère morte
vers l’amère thune,
de la pénombre
vers la
mort
sûre.
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Les amours sont des baguettes magiques
Dorées d’ors plantées dans des fables émouvantes
Et mystiques, que de fameuses femmes antiques,
En toques, épiques écolé gram, viennent
Redorer inlassablement, épouvantablement.
Redorer inlassablement, épouvantablement.
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D’accord, tout
le monde
Me moque, mais
c’est
Quand même moi qui me
Moque le mieux.
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Il avait fait
si peu de
Choses dans sa
vie, que c’en était
Devenu un Rien-faiseur
de l’humanité
Reconnu et
admiré de tous.
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Moi-même,
souvent,
Tout comme toi,
Je ne (me)
comprends pas…
Abandonne-toi
!
Me souffle une Foi,
Vœux mu de l’intérieur.
Vœux mu de l’intérieur.
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Qu’est-ce que
l’anormalité ?
Une Normalité
qui s’est
Trompé d’époque,
Ou de lieu.
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L’homme est un Miraculé,
Trouble fruit conscient
Du hasard et de
la nécessité, aussi
Nul besoin
d’invoquer une quelconque
Notion de
normalité ni de moralité
A l’encontre de
cet
Accidenté de la
Roue
De l’Evolution.
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Quand on dit de
Quelqu’un d’un
peu
Fou qu’il est
un peu
Malade, que doit-on
Malade, que doit-on
Dire alors de
quelqu’un
D’un peu malade
?
Qu’il est un
peu fou ?
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Mais pour qui te
pends-tu ?
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Alors que les vrais fous
Folâtrent gaiement
Par excès
d’inconscience,
Les faux fous
Frelatent tristement
Par abus de
conscience…
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Les hommes, les
vrais,
Laissent leurs démons
Laissent leurs démons
Inférieurs les
démanger,
Sans plus, les
plaçant
Dans des
coffres forts
Sourdement
fermés puis les
Refilant en
douce à leur
Descendance
qu’ils auront
Tout à loisir
de déranger
Indéfiniment.
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Quand ma case me manque
Ma case m’isole
de force.
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Souffrant d’une
intelligence
Malheureuse (forcément
Malheureuse),
je revendique le
Droit
inaliénable et imprescriptible à
Une imbécilité
heureuse,
En me consolant (trop fort, ouais !)
Sur ma console.
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Par temps
clairs,
Les troublés de
la
Personnalité
sont de
Sacrés originaux.
Par temps
troubles, ce sont
Des originaux…
un peu secrets.
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Les psys font
de
La peinture sur
soi
Qui s’efface à
chaque nouvelle
Douche émotionnelle.
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Les psys en
général sont de
Doctes gens qui
savent
Dire oui,
essentiellement
(oui…
essentiellement).
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Quand
l’angoisse m’assaille
Que l’humeur me
tenaille,
La détresse à
son œuvre
M’inhibe et me
désœuvre
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Comme un
carnavalier
Sans masque
Qui
s’étoufferait sur Mars,
Je manque d’air
sur Terre,
Où mes sangs
sont sans sens
Et mes nerfs,
euh… vénères.
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Ce ne sont pas
les gens
Propres sur eux
Qui
m’effraient,
Ce sont tous
ces
Gens qui
s’apprêtent de genres,
Sales surmoi
sournois !
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- Tout ça c’est dans ta tête !
- Oui, ça je le sais que c’est
dans ma tête !
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Mieux vaut se
parler
Un peu à
soi-même
Que balancer beaucoup à plusieurs
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La Modernité se moque de
L’Histoire comme la
Belle femme du vieillard…
Qui se fanera en premier ?
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Le progrès est un perpétuel
Glissement de terriens d’un
Confort vers un autre…
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Dans ce monde
Informe, martyrisé,
On sacre les iPhones,
On sacrifie les Hommes
On sacrifie les Hommes
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Autrefois, seuls les
Hommes s’entre-tuaient.
Aujourd’hui, ce sont les
Hommes et les femmes
Qui s’entre-tuent,
Dans d’entières minables
Guerres des nerfs…
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Dire : secours, toujours.
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De nos jours, le discours
Est l’arme fatale.
Qui le maîtrise dispose
Illico de l’hélico des pouvoirs.
Un jour proche, si ce n’est déjà fait,
Le Savoir supplantera le Discours,
Et ce sera reparti
Pour un autre tour de manège,
Différent.
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C’était toujours comme ça
que ça se passait : d’abord,
ils me
testaient,
puis, très vite,
la sensation trouble,
qu’ils me dé-
testaient.
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Je crois davantage aux
Droits de l’homme
Qu’à ses devoirs.
(Les goûts et les couleurs…)
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Si vous ne
Savez pas bien
Vous conduire
En société,
On vous donnera
La place du mort.
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La Terminale, et le Bac (à fables),
Lorsque l’on croit, heureux, naïf,
Serein, que tout se termine, enfin !
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Si t’es un bon atout, t’as tout.
Si t’es un bon à rien, t’as rien.
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Elle était seule, assise,
Penseuse et solitaire, devant
La Porte du périph féérique
De la merde-à-cité.
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Il y aurait deux sortes de
Soignants : ceux qui
Apaisent, et ceux qui,
Sous couvert de soigner,
Rendent les gens plus
Souffrants qu’ils ne l’étaient.
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Il n’est jamais
Trop tard pour
Rien faire
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Les gens gentils m’emmerdent
La preuve ? Je suis gentil
:
Qu’est-ce que je peux
Me faire chier !
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A bas la Société
De consolation !
De consolation !
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La
« RAISON »
veut
toujours avoir
RAISON,
c’est
d’ailleurs
sa
principale
RAISON
d’être,
contrairement
à la
pensée,
qui
ne demande
qu’à
être
pensée,
et fait de nous, les HOMMES,
et fait de nous, les HOMMES,
des
êtres de…
raison.
raison.
... A SUIVRE ...
Notre ami Renaud manie à la perfection l'art du métaphorisme. À lire lentement, au risque de rater les mots inversés. Que l'auteur-blogueur poursuive avec persévérance ces "peintures sur soi", elles nous amusent et nous émeuvent ;-)
RépondreSupprimerMerci beaucoup JL, ton commentaire me va droite au cœur.
RépondreSupprimer… et m'encourage à continuer (j'avais oublié la seconde partie de la phrase)
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