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jeudi 17 août 2017

PEARL HARBOR N’EST PAS MORT


PEARL HARBOR N’EST PAS MORT




Mon corps arbore sa peau comme les Ricains Pearl Harbor

Attaque cardiaque, crise syncopée, Japonais kamikazes

Encagés endeuillés irradiés. 

Quid du bien, du mal, de la morale, devant la mort implosée, par l’infinitésimal ? 

La Morale, les Autres, chaque jour que d’yeux défaits ! 

En rire ou en pleurer ? Fou-rire, faux rires, faut rire, et puis toujours "sous rire" !

Un pour tous, tous pour dire une Morale du Cœur, cardiaque, caduque.

Mais voir et savoir les Bêtes pour nous comprendre un peu,
Moins se prendre pour des C…
Les hommes ! Bien plus bêtes que les Bêtes parfois !
Les bêtes ! Bien plus hommes que les Hommes souvent ! 

Sans Foi ni Lois ou avec, c’est du pareil au même aloi !
Toujours la bête d’un Autre.

Peur aqueduc, des pieds jusque la tête.
Morale carnassière ! Au sens froide et au sens défigurée

Toujours plus bête, ou plus sensé que l’Autre… 

Mais comprendre, comment ça fonctionne, un animal-homme !
Animaux, fous alliés en nous ?

Comprendre pour avancer depuis toujours destinée d’homme…
Et ce pourquoi sommes liés, en dehors du sentir battu, par la haine inhumaine. 

Souvent, la haine des autres en moi s’insinue (émoi, et moi ?), sans y être invitée !

Tout reprendre à Zorro sur des bases plus saines.
S’expliquer nos erreurs, et déplier nos fautes.
Les savoirs faire extraire des cadavres dirigeants.


Avoir faim des présents, ne plus avoir les foies des passés dépassés.

Animaux valent sages, parfois, maux amis, maux amers, maux sauvages en nous
S’enracinant toujours aux mêmes hier de Terre ! 

Tous pour l’Homme, luit pour Tous. 

Fuir en gravissant le bon Sens de la Marche,
Ou se ronger les sens du Marché (ou tu crèves !)

Combien de rêves encore pour y bien parvenir ?
Combien de rêves en corps en esprit et en cœur ?

Connaissance, Imagination, Conscience…
Quilles en fête dérivant sous l’empire des sciences qui bouillonnent
A pieds d’homme, et l’emprise des arts, qui abondent à sa Tête ! 

Pour que, priez pour vous pauvres Saigneurs, à la larme facile et à l’âme défaite
Pour que, disais-je enfin, votre déclin soit proche, d'autres saigneurs approchent ! 

Et oh ! Oh Dieu notre Père ?! Odieux par trop de Fois et pas assez d’Assez, 
Cessez de vous cacher (comme vous n’existiez pas…)
Et oh ! Mères qui passez, vos seins doux sont Adieux, n’est-ce pas ?!

Faciles jeux de mots pour fragiles maux du Je… mais repartir encore
Sur de nouvelles braises, et rebâtir encore avec
La petite hache du Père Noël en sucre, et des cadeaux par milliers 
Pour goûter tous les rêves du p’tit lutin qui trône,
Sur la langue-bûche du Réveillons-nous enfin,
Vec le petit Gégé au milieu de tout ça,
Sous les rires cathodiques de l'oeil du salon

Se comprendre un peu mieux dans nos vies aveuglées.