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samedi 21 mars 2020

PHILOCOVID


Playlist Philocovid🦠 : https://bit.ly/3b9UaVD
de Vincent CespedeS



Mon texte (thème : "une lettre à ce "cher" coronavirus") est lu et (surtout) interprété (beaucoup mieux que je n'aurai su le faire) à partir du minutage 34:50 jusqu’au minutage 40:30 environ (ce qu'il y a avant, et après est aussi à écouter évidemment, si vous avez un peu de temps à gagner). Le texte écrit est ici : "Rencontre avec Covid-19", dans les COMMENTAIRES de la vidéo, avec d'autres textes ("Cher Coronavirus..."). Merci Vincent

Renaud / Nono Chepaki, Border terrien ascendant Koala ceinture jaune


Rencontre avec Covid-19. Préliminaire introductif (personnel) à l’intention de ce "cher" Covid-19 : "Les atomes forment des molécules, qui forment des cellules, qui forment des organes, qui forment des systèmes, qui forment des individus, qui forment des groupes, qui forment des écosystèmes, qui forment la vie. Et tous ces systèmes, ces niveaux d'organisation faits de matière-énergie-informations sont en perpétuelles interactions les uns avec les autres, et tous s'autorégulent, avec eux-mêmes d'abord, mais surtout, conformément à la consigne imposée par le niveau immédiatement supérieur (qui donne l'Ordre), ou bien encore, en suivant tout autre consigne venue de n'importe quel autre niveau d'organisation qui sonne l'alarme (il donne le "dés-ordre"), et influence l’action des autres niveaux pour que l’ensemble retrouve son état d’équilibre… Les mots aussi sont des systèmes, des niveaux d'organisations très complexes, parce qu'ils ne déclenchent pas chez tous ou toutes les mêmes réactions, aux mêmes niveaux d'organisation... Certains mots prononcés (comme une moquerie, une critique, ou une insulte) peuvent semer le désordre de tout un être et de tous ses niveaux d'organisation. Certains, au contraire, peuvent "semer de l’Ordre" à un niveau particulier d’organisation (cf. un compliment). Et les mots forment des phrases, qui forment des langages (avec leurs règles), qui forment des concepts, qui forment des écosystèmes de pensées et des "disciplines" (soit des niveaux d'organisations plus élevés encore en complexité), et pour finir, des grilles interprétatives narratives du réel, finissant le plus souvent en "-logie". Autant de "réalités" construites, qui s'entrechoquent dans des combats idéologiques toujours très compliqués car aucune de ces réalités construites ne parlent la même langue…". ALORS, CHER COVID-19, JE TE LE DEMANDE : DANS QUEL NIVEAU D'ORGANISATION ES-TU VENU SEMER LE TROUBLE ? Est-ce au niveau de l'individu, comme le fait le cancer par exemple, sauf que l'individu cancéreux entraîne peu de désordre dans les niveaux supérieurs, hormis son entourage proche (tous les autres systèmes d'organisation supérieurs s'en fichent pas mal, de ce pauvre cancéreux). Est-ce au niveau d'un pays, la Chine par exemple, oui, c'est bien ce que l'on croyait, au début, "pauvres chinois !" qu'on pensait, mais on s'en foutait des chinois, tu étais Leur virus, tu mettais le désordre dans Leur lointain pays, à Leur niveau, et l'on se disait qu'on n'était pas Chinois, donc pas concernés... Es-tu venu semer le trouble dans le système d'organisation des "fous" ? Je t'explique Covid. Nous autres, hommes modernes, pensons qu'un fou est troublé par le fait de la simple présence de son trouble, et nous agissons, nous, hommes modernes, aux niveaux d'organisation internes au fou, en lui donnant des molécules pour le calmer, et/ou par l'intermédiaire d'un rituel d'échange de paroles sempiternellement recrachées avec ce que nous appelons, nous, hommes modernes, un "psy". Sans se douter une seconde qu'il n'est que le porteur (le plus souvent innocent) du trouble (un virus bien de chez nous nommé "folie") d'un niveau d'organisation supérieur à lui : sa famille, sinon, le groupe social auquel il appartient, sinon son pays, sinon le système économique, idéologique ou politique dans lequel il "dévolue". Ainsi, au lieu d'agir sur un des niveaux d'organisation "supérieurs" comprenant ledit "fou" à l'origine de "sa" folie (enfin, le comprenant, c’est vite dit), on agira directement sur... "l'individu fou", et dès lors, on ne calmera jamais vraiment "sa folie". Bref ! Tu m’auras compris ! (un virus d’un an comprendrait "ça"). ALORS, TOI, OUI, TOI, COVID, SUR QUEL NIVEAU DIABLE AGIS-TU ? Dans l'état actuel de nos connaissances, il semble clair maintenant que tu sois venu foutre le bordel dans quasiment TOUS nos niveaux d'organisation ! Tu as vu ce "bizarre" que tu es venu mettre un peu partout ? Alors, Jésus-Covid (je t'appelle Jésus en référence à un autre virus, un homme très célèbre, un peu "fou", qui est venu foutre une pagaille pas possible chez l’homme sage voilà 2000 ans, sauf que lui, donc, c'était un homme, pas vraiment un virus. Bref). Réponds STP à ma question, flou-Covid ! Hein ? Quoi ? NON, LA, JE NE COMPRENDS RIEN ! PARLE FRANÇAIS STP ! OK, LA ÇA VA, JE CAPTE LA. Hein ?! Tu me dis que tu es venu donner un gros coup de pied dans la fourmilière de l'humanité (??), que tu as été mandaté par tes pères, tes pairs et tes grands pairs d'une mission : empêcher que la Terre ne coure à sa perte, et réveiller nos consciences pour nous dire : "Fin de partie ! On arrête de jouer avec la vie, là ! La vie n'est pas un jeu entre vos mains, aussi sophistiqués et subtils que vous soyez". TU AS UN MESSAGE DU VIVANT POUR NOUS ? Ah d'accord, ah ben d'accord, vas-y, dis-le alors, mon Jésus-Covid ! COVID-019 PARLE (MESSAGE DU VIVANT A HOMO-SAPIENS) : "O hommes, cathédrales auto-pro-cramées de la Complexité vivante incarnée, vous n'en avez fait que trop ! Stop, frein, arrêt d'urgence, vous n'en avez fait que trop ! Tant et si bien que Nous, êtres vivants qui avons le droit de peupler la Terre autant que vous, avons décrété, ensemble, de vous envoyer "Covid-019" (comme Vous l’appelez), pour que, à quelque niveau d'organisation que ce soit, vous, Homo-sapiens (sapiens...), ne puissiez plus trouver d'échappatoires pour vous défausser encore et continuer coûte que coûte votre entreprise de dérèglementation du Vivant. Avec Covid-019 donc, béni soit-il (pour Nous), nous, Autres vivants, avons décidé de vous PARALYSER à TOUS LES NIVEAUX. Le temps nécessaire pour que Vous compreniez enfin qu'il est urgent de ne plus agir à l'envers et contre Nous, d'arrêter de Nous mettre dans Votre bateau, Votre galère. Elle n'est pas Nôtre. Jamais nous n'aurions agi comme Vous. Nous, avons mis en commun nos forces pour vous dégouter du virus Covid-019, qui fera date dans votre Histoire (soi-disant supérieure), et dans vos dérisoires petites histoires de bons hommes. Et ça n'est que le début. Nous saurons nous adapter et trouver d'autres Covid pour contourner vos illusoires vaccins. Pour qu'enfin vous compreniez que la vie n'est pas un jouet entre Vos mains. Allez jouer dans Votre bac à Fables, ou bien entretuez-vous par millions si vous voulez, mais laissez-nous vivre la vie, et arrêter d'humaniser et de bordéliser épouvantablement tous Nos niveaux d'organisation ! Nous avons si peu besoin de vous ! Arrêtez-vous, souffrez en votre chair de tous ces Arrêtés que nous avons minutieusement décrétés, comme autant de mines défaites sur tous les chemins surpeuplés et surtout, sur tous ces mouvements si empressés de vos sens, de vos âmes, de vos esprits, où s'opérait et prospérait Votre vie à Vous, au détriment de notre vie à Nous. Arrêtés décrétés à l’unanimité de nos ensembles liés. Pour vous empêcher d'agir. Tous. Sauf peut-être vos Fous, qui, s'ils sont vos Traîtres, constituent nos plus sûrs alliés dans votre camp, puisque votre Chef a décrété, Lui, que Vous étiez en guerre contre Nous. Nous n'avions pas d'autres alternatives. Nous n'avions plus d’autres choix, car vous êtes allés trop loin. Et le temps presse". Signé : les éléments de la Nature, tous les êtres vivants, et quelques fous, à l’exception dudit homo-sapiens, à qui ce message est destiné". Merci pour ce message, Covid, et, entre nous, si tu pouvais m'éviter (je suis un peu fou tu sais, mais que cela reste entre nous, hein !).


Mon texte (thème : "la santé") est lu et (surtout) interprété (beaucoup mieux que je n'aurai su le faire) à partir du minutage 49:26 jusqu’au minutage 52:40 (ce qu'il y a avant, et après est aussi à écouter évidemment, si vous avez un peu de temps à gagner). Le texte écrit est ici :"Ma santé à moi, c’est…", dans les COMMENTAIRES de la vidéo, avec d'autres textes ("La santé, c’est…"). Merci Vincent

Renaud / Nono Chepaki, Border terrien ascendant Koala ceinture jaune

Ma santé à moi, c’est d’être confiné, seul, en famille. Et que « ça » ne borderline plus dans mon crâne brûlé, et que « ça » ne peut plus m’atteindre, et que « ça » ne veut plus m’attendre aux tournants des évènements relationnels anecdotiques du quotidien banal pour lesquels je MANQUE DE PEAU, et que « ça » ne peut plus me faire me noyer, contre mon gré, CONTRE MON GRÉ, je le hurle bien fort pour que vous l’entendiez, car c’est à la limite de l’entendement, me noyer, écrivais-je, dans un verre d’eau ! Si vous saviez combien il peut y avoir de souffrances, parfois… concentrée dans ce simple petit espace-temps qu’est un verre d’eau. Et que « ça » est alors une brûlure mentale que seul un(e) autre "borderlique" peut comprendre. Et que « ça » est une brûlure mentale que seul un (bon) psy et de solides molécules psycho-tropiques peuvent calmer. Voilà. Ça est dit, concernant cette partie troublée du bulbe de ma personnalité, le dit borderline étant la figure la plus absolument aboutie du PARADOXE, existentiel, essentiel, substantiel, enfin tout ce qui vous plaira en -tiel (on essaiera juste éventuellement d’éviter le mot ciel…). Voilà. Ça est dit. Enfin non, pas complètement. Juste, oyez là, braves gens, que, mou aussi, derrière un mot calme doucereusement écrit en un instant, peut se cacher un hurlement primal retenu de toute Éternité. Voilà. Là, ça y est dit. Sinon, pour ce qui est de mon côté névrosé du bulbe, La santé c’est de ne pas trop être mangé, et de ne pas trop manger les autres. C’est ’équilibre, l’homéostasie personnelle, et ce faisant, collective (l’homéostasie, c’est comme l’équilibre, pour le vivant, mais ça fait quand même vachement plus savant, je referme la)), homéostasie collective donc, qui reste une Utopie dans l’absolu, certes, et encore heureux, mais, qui sait, si le XXIème siècle serait connectif, ou ne saurait pas ? Connectés collectivement, et ivres de pourquoi et de comment, et surtout, de « vois, là » ! La santé c’est une alchimie bizarre entre principes de plaisir et casse-pipes de punition. C’est aussi hurler la peur qui tue, qui divise, qui atomise, qui anéantit. La santé c’est prendre sein de moi, c’est prendre sein de toi, c’est prendre seins des mous (bénis soient-ils !). La santé c’est quand les niveaux sont à leur Juste niveau. La santé c’est quand l’information circule sans rétention « d’eux », à tous les niveaux. C’est aussi savoir imaginer à contre-courant, à contre-cœur, à contresens. C’est la hiérarchie au service de l’intelligence, comme dirait Voris B. La santé c’est le respect de mon intime été, c’est quand je peux agir, toujours, de quelque manière que ce soit (vois, là !), contre gens et mariés, c’est quand je peux pleurer de rire ou rire de pleurer. C’est quand je peux rêver, au-delà de mes rêves (figure de style hautement poétique, ai-je seulement besoin de le souligner). C’est quand ma seule raison d’être c’est d’être, ou de résonner d’être. Avec ou sans raison. La santé c’est ne pas trop manger les autres et ne pas trop être mangé, écrivais-je plus haut, être juste là quoi : Koala ! Quoi là ? Renseignez-vous sur les Koalas, quoi ! C’est ne pas me manger moi-même, non plus. La santé c’est de ne pas prendre un fou pour un fou, mais pour le porteur d’une folie qui n’est pas la sienne. La santé, c’est quand une angoisse trouve enfin un siège, une douleur où s’assoir (pas trop longtemps non plus quand même). La santé c’est de ne pas prendre un dément pour un dément, mais pour un vieux qui s’oublie, tranquillement vaincu par la tournure du Monde en général, ou par la courbure de son monde à Lui en particulier. Bonsoir papa. La santé c’est quand je vois mon docteur et qu’il me fait une prescription, c’est quand je vois mon psy et qu’il me fait une ordonnance, c’est quand je vois ma femme et qu’elle me fait un sourire amour haché, c’est quand je vois mes enfants et qu’ils me font l’amour de rire, et c’est enfin quand je vois mes vieux parents, et qu’ils me considèrent désormais consciemment, ou presque, comme un sujet…

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PHILOCOVID 🦠 #15. LA CHIMÈRE ET LE PLOMB

Mon texte (thème : "chimères") est lu et (surtout) interprété (beaucoup mieux que je n'aurai su le faire) à partir du minutage 43:47 au minutage 49:06 (ce qu'il y a avant, et après est aussi à écouter évidemment, si vous avez un peu de temps à gagner). Le texte écrit est ici : CHIMERIQUE…, dans les COMMENTAIRES de la vidéo, avec d'autres textes (sur "la / les chimère(s)"...). Merci Vincent.

Renaud / Nono Chepaki, Border terrien ascendant Koala ceinture jaune


Quelle serait la chimère en rigueur pour l’homme dit « Moderne » de 2020 et d’après ?

 Est-elle « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'univers et les dieux », de Socrate

ou bien : « Croissez, et multipliez, et remplissez la terre ; et l'assujettissez, et dominez sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur toute bête qui se meut sur la terre », de la Genèse

Je reprends des extraits d’un texte écrit cette nuit et mis en commentaire du Numéro 12 de (PHILOCOVID🦠 #12 donc), de Vincent, à propos du « changement de paradigme » face auquel nous nous trouvons : l’homme doit-il désormais suivre (enfin ??!) Socrate, ou continuer de suivre l’injonction de la Genèse de la Bible ? J’y parlais du Professeur Henri Laborit, qui propose une « nouvelle grille » (titre de l’un de ses livres), soit un « nouveau paradigme », ou peut-être… une nouvelle « chimère » ?

Très « brièvement », ce que nous dirait Laborit (j’imagine), s'il était encore de ce monde, est qu'un virus comme le Covid-19 (ou toute autre "catastrophe écologique, énergétique, économique, etc., etc. (la liste serait hélas longue), et qui nous pendent aux nez comme de longues m…), c'est clairement que l'économie de marché capitalistique est en état de "mort cérébrale".

Toutes ses compétitions et innovations perpétuelles pour se maintenir en l'état (sous expiateur artificiel), et toutes les imaginations créatrices (ou non) sacrifiées sur son autel, sont autant de gâchis humain, animal, biologique, écologique, etc. Et toutes ces vies humaines "normales" sacrifiées aussi sur cet autre autel, plus morbide, de "la Peur consciencieusement entretenue", surtout, être normal, comme les autres, con|forme, et suivre comme des moutons l’injonction chimérique de la Genèse de la Bible en quelque sorte.

Cette économie chimérique donc, Biblique, Genèse-tique, de la République en marche(é) ou crève, qui est devenue (contre leur gré, à coup de matraquage et de manipulations sophistiquées) dans la tête des "gens" ("on" leur y a mis ((in)-con)-sciemment ? (je pense pour « sciemment »)), la Religion des Temps (soi-disant Modernes).

L'imagination créatrice (la seule "fuite" vraiment salutaire selon Laborit, capable de supporter le monde et l’existence en situation sociale), pourrait se conjuguer à tellement, tellement, tellement... d'autres "sauces" qu'à celle de la création de nouvelles marchandises, de nouveaux biens, de nouveaux services, de nouveaux besoins, de nouvelles nouveautés, de nouveautés nouvelles, autant « d’agitations » qui n'existent que pour maintenir (via la Propagande institutionnelle, la Publicité, les Médias, la Sainte Communication), des systèmes de dominances vieux de (grosso modo) près de... 6000 ans ! Soit grosso-modo, l’époque du texte de la Genèse (tiens, comme c’est étrange (?)). Il y a environ 6000 ans : "invention" de l'agriculture, commencement de l’accaparation / accumulation des biens et des êtres vivants, fin du nomadisme…). Le seul moyen de s'en sortir donc, selon Laborit, serait de comprendre pourquoi et comment l'humain a tant "besoin" de hiérarchie, d’accumuler des biens, de les faire fructifier (chimère Genèse-tique), et par conséquents, de groupes de dominants et de groupes de dominés pour que « ça » fonctionne, et de toutes les conséquences ô combien désastreuses et terribles de « ça », que l’espèce a subi depuis ces 6000 ans... (la Genèse aurait-elle pu prévoir cela ?).

La réponse est selon lui (pour un tiers disons) dans la connaissance (naître avec) le « Connais-toi toi-même (homme) et tu connaîtras l'univers et les dieux » de Socrate, mais il l’exprime différemment, c’est-à-dire en biologiste fabuleux touche-à-toutes les disciplines, la connaissance donc, par tous les hommes, que dis-je, par "toutes les femmes et (surtout) par tous les enfants d'abord", du fonctionnement (biologique) de son système nerveux en général, et de ses "3 cerveaux" en particulier (reptilien, émotionnel, imaginaire). Rajoutez par-dessus ça l’imagination et la conscience pour les deux autres tiers.

Connaître le pourquoi et le comment des principes de dominances et de compétitions entre groupes humains, à partir desquels "tous les systèmes" découlent et s'emboîtent les uns dans les autres par niveaux d'organisations successifs en interactions mutuelles les uns avec les autres !

C’est ainsi qu’après être plus ou moins parvenu à maîtriser et contrôler "le dehors" (chimère de la Genèse),« la Nature », via le vecteur du Covid-19 (qui n’est que le tout premier grand avertissement d’une longue suite de catastrophes qui hélas, suivront), commence (dans un premier temps) à nous (dé)-gueuler dessus (sans se soucier des postillons) qu'il est plus qu'urgent maintenant d'apprendre et de répandre les Lois "du dedans" (la « chimère » de Socrate perd de sa substance chimérique pour devenir dès lors, quelques 2000 ans plus tard, nécessité absolue), ces Lois du dedans (systèmes nerveux et cerveaux) qui nous ont permises, via les langages, de comprendre les Lois du "dehors".

Dès lors, toujours selon Laborit, que l'on saura "ça" (99 % de nos actions, ressentiments et pensées, même les plus beaux discours altruistes ou "bons", étant (en « réalité ») plus ou moins inconscients, tout comme ce texte que je suis en train de retravailler et d'écrire en ce moment, à 18h00 passées, par narcissisme principalement (et mais moi ? eh mais moi ?! aimez-moi !), et pour le reste, par partage et empathie), alors donc, et dès lors que l'on saura "ça", écrivais-je, et "si et seulement si", la vie ne sera-t-elle peut-être pas forcément plus "simple"…, mais certainement fort différente, plus supportable et plus belle… Moins "compliquée" assurément qu'elle ne l'est aujourd'hui !!! A moins que… d’ici-là, une catastrophe bien supérieure n’emporte l’Homme (voire la Terre et le vivant) sur son sillage…

Mais je ne veux pas être pessimiste (qui le voudrais ?), bien que je sois obligé de l’être un peu quand même, et pour finir en gaité donc, ci-dessous les premières paroles de « Laissons entrer le soleil », comme le chantait (déjà) Julien Clerc il y a 51 ans (il suffit de remplacer « le soleil » par « la connaissance de soi ») :

 

« On se guette

Traqués, à bout de souffle

Marchant

Pétrifiés dans nos manteaux

D'hiver

Refoulés aux frontières du mensonge

Des nations qui crèvent

Tués par des rêves chimériques

Écrasés de certitudes

Dans un monde, glacé de solitude…

[…]

Laissons, laissons, entrer le soleil

Laissons, laissons

Laissons, laissons, entrer le soleil

Laissons, laissons »

 

50 ans déjà (j’en avais 5 !).

Que n’avons-nous laissé faire pendant tout ce temps !!! (c’est français ça ?)